vendredi 19 août 2016

La ménagerie du bout du monde, de Carol Birch






Un roman traduit de l’anglais par Carole Delporte. Editions Terra Nova.


Quand j’ai acheté ce roman, je me baladais innocemment dans une grande surface, sans intention particulière d’acquérir quoi que ce soit. Mes pas m’ont conduit, par hasard, dans le rayon des livres…

Dès que je l’ai vu, il a fallu que je le prenne, voilà.

Sa magnifique couverture et son titre étaient une invitation au voyage et à la rêverie dans un autre temps.

Aujourd’hui je termine la dernière page avec un sentiment de gratitude envers l’auteure et ce magnifique cadeau qui est entre mes mains.

Carol Birch s’est inspirée de faits réels qui ont eu lieu au début du dix-neuvième siècle pour donner vie à des personnages fictifs. Le principal est le petit Jaffy et c’est lui qui nous conte cette fabuleuse aventure du bout du monde.

Le récit est d’une grande richesse, dans les événements extérieurs bien sûr, mais aussi et surtout dans les émotions, les états d’âmes, les réflexions personnelles…

Ce que va vivre Jaf c’est avant tout un voyage intérieur, un rite de passage de l’enfance vers l’âge adulte, une épreuve terrible, un tour de force de la Vie.

Tout au long de ma lecture, j’ai trouvé qu’il se dégageait une grande mélancolie de ce récit. Quelque chose de tenace, qui donne envie de se rouler en boule et de pleurer, mais aussi un appel à la liberté et une invitation à suivre ses rêves, toujours…



Bonne lecture.


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