Le monde va mal.
Cela ne date pas d’aujourd’hui, ni même d’hier. L’Histoire a connu des crises, à toutes les époques, dans toutes les sociétés. Quelques fois, les choses s’apaisent, une paix relative domine le quotidien des uns, puis se retire vers d’autres horizons, et tout s’enflamme.
C’est presque à
chaque fois le même schéma qui se reproduit. Les choses se passent de
manière cyclique, et c’est comme si tout un peuple était amnésique. On
dirait une fatalité.
Le monde va mal.
Pour prendre la température du climat sociétal, il suffit de surfer sur les réseaux sociaux. Les commentaires haineux bourgeonnent, s’appuyant sur des vérités, puis les émotions exacerbées font le reste. Quelques-uns brodent, touillent dans le chaudron de la peur et de l’insécurité, et d’autres s’en emparent fiévreusement pour les disperser aux quatre vents. Haine et violence fleurissent pour emprisonner les esprits. Les gens se divisent.
L’être humain n’est qu’un, mais il a brisé son miroir depuis tellement longtemps qu’il s’imagine que tous les éclats renvoient des images différentes.
Le monde va mal.
Cheyenne.
Le monde va mal.
Pour prendre la température du climat sociétal, il suffit de surfer sur les réseaux sociaux. Les commentaires haineux bourgeonnent, s’appuyant sur des vérités, puis les émotions exacerbées font le reste. Quelques-uns brodent, touillent dans le chaudron de la peur et de l’insécurité, et d’autres s’en emparent fiévreusement pour les disperser aux quatre vents. Haine et violence fleurissent pour emprisonner les esprits. Les gens se divisent.
L’être humain n’est qu’un, mais il a brisé son miroir depuis tellement longtemps qu’il s’imagine que tous les éclats renvoient des images différentes.
Le monde va mal.
Cheyenne.