dimanche 4 février 2018

Cujo, de Stephen King





Un petit conseil : si vous avez un animal domestique, un chien par exemple, VACCINEZ-LE !! Surtout s’il s’agit d’un modèle XXL…

D’après la 4ième de couverture, pas de suspens quant au fond de l’histoire. On devine bien qu’un carnage aura lieu, dont l’auteur se nomme CUJO. Mais pour parvenir à la scène finale, Stephen King déploie tout son talent, nous laissant dans un état de tension et d’impatience tout au long du récit.

Ce trop-plein d’impatience m’a d’ailleurs fait ressentir quelques longueurs par moments. C’est que le King s’attache à créer une vie à chacun de ses personnages et une ambiance qui leur colle au train comme une ombre.

C’est incroyable comme la convergence de différents évènements, à priori anodins,  peut mener à l’accomplissement d’un destin !

Au final, ce qui est arrivé est-il seulement dû à un malheureux concours de circonstances ? Ou bien le monstre du placard a-t-il quelque chose à voir là-dedans ???

Mystère, mystère…





4ième de couverture :

Cujo est un saint-bernard de cent kilos, le meilleur ami de Brett Camber, qui a dix ans. Un jour, Cujo chasse un lapin qui se réfugie dans une sorte de petite grotte souterraine habitée par des chauves-souris. Ce qui va arriver à Cujo et à ceux qui auront le malheur de l'approcher constitue le sujet du roman le plus terrifiant que Stephen King ait jamais écrit. Brett et ses parents, leur voisin Vic Trenton et sa femme Donna, un couple en crise, Tad, leur petit garçon, en proie depuis des semaines à des terreurs nocturnes : tous vont être précipités dans un véritable typhon d'épouvante, un cauchemar nommé Cujo... Publié il y a vingt-cinq ans, Cujo reste une des oeuvres majeures de Stephen King, et un classique de l'épouvante.




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