Le monde va mal.
Cela ne date pas d’aujourd’hui, ni même d’hier. L’Histoire a connu des crises, à toutes les époques, dans toutes les sociétés. Quelques fois, les choses s’apaisent, une paix relative domine le quotidien des uns, puis se retire vers d’autres horizons, et tout s’enflamme.
C’est presque à
chaque fois le même schéma qui se reproduit. Les choses se passent de
manière cyclique, et c’est comme si tout un peuple était amnésique. On
dirait une fatalité.
Le monde va mal.
Pour prendre la température du climat sociétal, il suffit de surfer sur les réseaux sociaux. Les commentaires haineux bourgeonnent, s’appuyant sur des vérités, puis les émotions exacerbées font le reste. Quelques-uns brodent, touillent dans le chaudron de la peur et de l’insécurité, et d’autres s’en emparent fiévreusement pour les disperser aux quatre vents. Haine et violence fleurissent pour emprisonner les esprits. Les gens se divisent.
L’être humain n’est qu’un, mais il a brisé son miroir depuis tellement longtemps qu’il s’imagine que tous les éclats renvoient des images différentes.
Le monde va mal.
Cheyenne.
Le monde va mal.
Pour prendre la température du climat sociétal, il suffit de surfer sur les réseaux sociaux. Les commentaires haineux bourgeonnent, s’appuyant sur des vérités, puis les émotions exacerbées font le reste. Quelques-uns brodent, touillent dans le chaudron de la peur et de l’insécurité, et d’autres s’en emparent fiévreusement pour les disperser aux quatre vents. Haine et violence fleurissent pour emprisonner les esprits. Les gens se divisent.
L’être humain n’est qu’un, mais il a brisé son miroir depuis tellement longtemps qu’il s’imagine que tous les éclats renvoient des images différentes.
Le monde va mal.
Cheyenne.
Cheyenne du soir perd l’espoir ? Que Cheyenne du matin en retrouve le chemin !
RépondreSupprimerQuand je pense à l’état actuel du monde, la tristesse m’envahit parfois, la colère, souvent.
Ce jeune siècle se distingue par la montée des extrémismes et fanatismes de tout poil : politiques, religieux, communautaires...
Les réseaux sociaux se font chambres d’échos amplifiant par trop les voix de ceux qui gueulent déjà le plus fort.
Pour autant, tout n’est pas noir.
Si les forces réactionnaires flambent (avec violence, car elles ne connaissent rien d’autre) c’est aussi ... par réaction. À des élans progressistes réels (écologiques, féministes...)
Et sur les réseaux sociaux, le récent confinement, où ils furent plus actifs que jamais montrèrent aussi, en regard de comportements navrants, un déploiement d’initiatives solidaires.
Tant qu’il y a de la vie...
https://www.maxisciences.com/plante/d-incroyables-images-qui-montrent-que-la-nature-trouve-toujours-son-chemin_art34760.html
En fait rien n'existe plus que par le buzz. Positif, négatif, peu importe. L'essentiel est d'être là, présent plus que le voisin, de se montrer saint ou mécréant,hypocrite ou sincère, d'imposer une position d'actualité pour qu'elle devienne vérité au-delà du mensonge et de l'enfumage, de noyer le tout dans une mélasse sociétale où tout se mélange; le bon sens et le pire. A un grand foutoir nos hommes politiques ont trouvé la solution, celle d'apporter pré mâché un foutoir plus grand encore.
RépondreSupprimerOui, tout n'est pas tout noir, heureusement :-)
RépondreSupprimerBelles images, Jim ;-)
je suis dans une période de dégoût général.
ça passera avec le temps :-)